L’obsolescence programmée :
Au cœur de nombreux débats, l’obsolescence programmée n’a pas finie de faire parler d’elle. Souvent qualifiée de « dérive de la société de consommation », elle caractérise la durée de vie volontairement écourtée des appareils électroniques par le fabricant, incitant le consommateur à racheter neuf le produit soudainement défectueux. L’obsolescence programmée a été théorisé par Bernard London en 1932 pour dynamiser un modèle économique à bout de souffle.
Mais pourquoi continuer à acheter des produits, sachant qu’ils vont bientôt être démodés, anciens, défectueux ?
Il existe en fait plusieurs types d’obsolescence programmée, qui font que l’on ne peut pas s’empêcher de consommer toujours plus.
- L’obsolescence de fonctionnement: Des produits programmés pour ne durer qu’un certain temps, comme les téléviseurs, lave-linge et autres électroménagers…
- L’obsolescence esthétique: Tous ces produits qui deviennent soudainement passés de mode, une nouvelle version de ce produit venant de sortir. De grandes marques sont connues pour cela. Mais la faute peut aussi être rejetée sur les consommateurs qui souhaitent toujours avoir le dernier produit de la marque, le nec plus ultra.
- L’obsolescence par défaut fonctionnel / indirecte: Connus sont les produits qui, du jour au lendemain, cessent de fonctionner. Une pièce de l’appareil se met en défaut, ne fonctionne plus, mais il est pratiquement impossible de la changer. Ce type d’obsolescence pousse le consommateur à racheter un produit neuf car la réparation est aussi coûteuse que le prix d’achat d’un produit neuf.
- L’obsolescence d’incompatibilité: Ce sont les produits ne fonctionnant plus avec les nouvelles mises à jour, comme un logiciel informatique devenu obsolète suite à la nouvelle version d’un programme.
Ce sont toutes ces différentes formes d’obsolescence programmée, qui font que le consommateur d’aujourd’hui veut acheter des produits durables.
Plusieurs mesures ont déjà été prises par les pouvoirs publics. Depuis le 17 mars 2014, la loi « Hamon » oblige les fabricants à indiquer la date limite de disponibilité des pièces détachées indispensables à leurs produits et à les fournir. Un délit d’obsolescence programmée est même reconnu dans la loi de transition énergétique, défini comme « tout stratagème par lequel un bien voit sa durée de vie sciemment réduite dès sa conception limitant ainsi sa durée d’usage pour des raisons de modèle économique ».
Aujourd’hui, pour contrer cette obsolescence, la tendance est à la réparation. Des communautés se créent, entre voisins, sur divers sites internet. Réparer chez soi, ou en groupe est à la portée de tous.
Mais quoi de mieux que de s’offrir des produits garantis à vie ?
La construction et la conception de notre brouette La Ganaq ne fait aucune concession à sa résistance et donc à sa durée de vie. Sa qualité est irréprochable. Vous serez en retraite avant même que celle-ci ne soit plus utilisable (et pourtant la retraite est loin pour certains…).
→ Sa garantie, de 15 ans, en fait un produit irréprochable. ←